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Open-spaces

Open spaces

1) Le contexte

Les vertus de la pandémie, vécue depuis plus de deux ans, auront été de démocratiser le travail à la maison (télétravail) et de permettre aux entreprises de réduire concomitamment leurs besoins de surface de bureaux.

En revanche, ces évolutions nécessitent la réorganisation des bureaux pour s’adapter au nomadisme des collaborateurs ainsi qu’une évolution des équipements pour les rassurer, les sécuriser et maintenir la productivité des équipes.

2) Evolution des espaces

Autrefois majoritaire, le bureau individuel n’est plus autant de mise, les open-spaces se généralisent pour permettre le nomadisme des individus. Ils peuvent ainsi s’approprier un bureau libre selon leurs venues et leurs besoins.

La création de l’open-space s’associe alors avec la multiplication de salles de réunions pour permettre de travail de groupe sans gêner les personnes présentes dans l’espace général. Ce sont des salles de diverses dimensions, la majorité destinée à accueillir de 2 à 6 personnes avec couramment un pan de mur sur lequel est installé l’écran plat de présentation.

Ces espaces sont clos et insonorisés, donc confinés et le renouvellement ainsi que la qualité de l’air ambiant et la concentration d'odeurs se révèlent souvent un problème très important.

Le code du travail, dans son article R 4222-6 impose aux employeurs de contrôler la qualité de l’air et de garantir un taux de renouvellement d’air dans les bureaux de 25 m3/heure et par occupant de 30 m3/h pour les salles de réunion et même de 60 m3/h pour les ateliers (Source : LegiFrance).

Tableau open-spaces

La qualité de l’air intérieur est donc devenue aussi importante que le confort thermique, climatisation et chauffage ne sont plus suffisants. L’assurance d’une bonne qualité d’air est une préoccupation des entreprises, des salariés et des partenaires sociaux.

Un rappel : nous passons 80 % de notre temps à l’intérieur, bureaux, logement, écoles, et de nombreux polluants biologiques et chimiques sont présents dans l’air respiré par chacun.

  • Les polluants biologiques : bactéries, virus, moisissures…

  • Les polluants chimiques : composés organiques volatils émis par les revêtements, les colles, vernis, les copieurs, les odeurs des produits ménagers..etc

3) Nos recommandations pour un air plus sain

Recommandation N° 1 : aérer fréquemment

Idéalement, pour s’assurer d’une bonne évacuation des polluants il faudrait pouvoir ouvrir 15 minutes toutes les 3 heures.

Cependant, ce n’est pas toujours possible, pour des raisons de chaleur, de froid de disponibilité nécessaire des personnes ainsi que dans les bureaux dont les fenêtres ne s’ouvrent pas.

Recommandation N° 2 : Une ventilation renforcée.

Les ventilations de types centrales de traitement de l’air (CTA), les VMC doivent être renforcées et particulièrement bien entretenues. Leur pilotage doit être exercé aussi finement que possible en tenant compte par exemple du nombre de personnes présentes dans les locaux ainsi que du taux de particules fines de type PM 10 ou mieux encore, PM 2.5.

Selon la loi, (article R4211-1 et suivants du code du travail) au cours d’une journée de travail de 8 h, personne ne doit pas inhaler plus de 10 mg de poussières par m3 d’air.

Le niveau est abaissé à 5 mg/m3 pour les particules les plus fines, capables de pénétrer en profondeur dans les alvéoles pulmonaires (PM 2.5) et donc affecter les voies respiratoires.

La mise en place et la maintenance de ces installations peuvent néanmoins s’avérer complexes et coûteuses selon le type de bâtiment, son ancienneté, son classement, etc.

Recommandation N° 3 : Purifier et assainir l’air intérieur

Les pandémies vécues depuis quelques années nous ont appris que dorénavant, il existe un risque élevé de devoir vivre avec des pandémies et des risques de transmissions virales.

Un purificateur d’air élimine de l’air intérieur les polluants biologiques et chimiques, particules fines et ultra fines, ainsi que les composés organiques volatils. Il permet aussi de filtrer les odeurs de fumées, de combustion, d'encens ainsi que les particules ultra-fines telles que les formaldéhyde, les pollens et les acariens.

Le purificateur d’air avec ses 5 niveaux de filtrations, ses filtres HEPA, ses filtres au charbon actif, aide à réduire les risques de contamination croisée ainsi que l’absorption éventuelle des composés chimiques. Il offre notamment la possibilité d'activer 2 options supplémentaires qui sont l'ioniseur et la photocatalyse.

En nettoyant l’air des bureaux, salles de réunions ou restaurants d’entreprise, des polluants présents, il évite aussi une baisse de la concentration, de potentielles tensions relationnelles, une baisse de productivité et une hausse de l’absentéisme.

Aussi, en éliminant les allergènes et COV, il évite aussi l’aggravation de pathologies déjà existantes comme les allergies aériennes et l'asthme.

Les entreprises, ainsi que les partenaires sociaux, prennent d’importants engagements comprenant les éléments de la Qualité de Vie au Travail (QVT). Ils permettent de se préoccuper en même temps de la performance, des conditions de travail pour faciliter le retour au bureau, tout en maintenant les économies dues aux moindres besoins de surface de locaux.

Depuis plusieurs années, certains fabricants de cloisons amovibles, de salles de réunions intègrent les purificateurs d’air d’AIR ET SANTÉ dans l’épaisseur même de leurs réalisations. Ceux-ci purifient ainsi en continu l’air de ces espaces clos.

Chez AIR ET SANTÉ il existe une gamme complète de purificateurs d’air de qualité médicale. Ils sont équipés de filtres HEPA de classe 13 ou 14, de filtres à charbon actifs et en mode automatique, ils sont  pilotés par leurs détecteurs de qualité d’air.

De 10 m² pour un bureau à 500 m² pour un large open-space ou bien un restaurant d’entreprise, la solution existe chez AIR ET SANTÉ.

L'utilisation du purificateur d'air s'applique aussi dans les :