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Entreprises et bureaux

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La pollution intérieure dans les entreprises et bureaux

Maintenir une bonne santé des collaborateurs

En milieu professionnel, dans les entreprises et espaces de bureaux, la qualité de l'air en intérieur est un aspect important à mesurer et maîtriser. Ces espaces regroupent un certain nombre de salariés, qui travaillent ensemble dans des lieux clos et accueillent en leur sein des parties prenantes ou clients. 

Une étude de Environment Health Perspective faite par l’université d’Harvard démontre que l’impact du CO2 sur un professionnel peut engendrer une diminution de ses performances cognitives et de sa concentration.

Dans quels espaces est-il primordial de mesurer la qualité de l'air et quelles sont les solutions à mettre en place?

Le contexte

La pandémie liée à la Covid-19 vécue depuis deux ans est une période difficile pour tous et nous apprend que dorénavant il existe un risque très élevé de devoir vivre avec des pandémies et des risques de transmissions virales.

Notre comportement, nos gestes barrières, nos réflexes s’adaptent à cette nouvelle situation et nous devons réduire les contaminations au-delà de l’usage des masques et des vaccins.

Grâce à la vaccination un grand nombre de vies est sauvée, mais ce n’est pas suffisant. Des personnes non vaccinées peuvent être infectées de nouveau et celles non vaccinées sont toujours en danger.

Selon le Professeur Flahault, épidémiologiste et directeur de l'Institut de santé globale à l'université de Genève, aucune mesure n’est complètement efficace pour faire barrage à la pandémie. Et, si pour les personnes de moins de 60 ans, vaccinées et sans risque de comorbidité le risque d’hospitalisation ou de décès est très faible, le risque de Covid long existe toujours.

Toujours selon le Professeur, il est important d’appliquer les gestes « barrières » mais aussi qu’améliorer la qualité de l’air intérieur est une urgence de santé publique.

"95 % des contaminations surviennent dans des lieux clos, mal ventilés" (Source : Ouest France). Aussi bien nos habitations que les établissements recevant du publique (ERP) salles de classes et bureaux.

Aérer est la première des bonne pratiques, mais cette action n’est pas toujours possible quelques fois pour des raisons techniques ou bien l’été à cause de la chaleur et l’hiver à cause du froid.

Qu’est-ce qu’une bonne qualité de l’air intérieur en milieu de travail ?

Un bureau est censé être un environnement qui permet un confort de travail et qui conduit à une bonne productivité. Il doit être exempt de contaminants comme les particules fines, les composés organiques volatils (COV), les produits chimiques, les moisissures, les odeurs.

Dans le cas d’une qualité d’air médiocre, peuvent survenir des problèmes de santé tels que l’irritation des yeux, des voies respiratoires, des pathologie exacerbées comme l’asthme ou certaines allergies respiratoires.

La qualité de l'air intérieur (QAI) est un facteur de santé très important lorsque nous passons 80% de notre temps à l'intérieur de locaux. Dans le cas de locaux professionnels l'article R 4222-6 du code du travail qui date de 1985 impose un renouvellement d'air minimal de 25m³ par heure et par personne. Les Pays Européens eux, appliquent majoritairement un volume situé entre 34 et 90m³.

Un purificateur d’air pourra éliminer de l’atmosphère de très nombreux polluants, particules fines et ultra fines (PM 2.5) et composés organiques volatils.

Dans les polluants et particules fines, nous pouvons retrouver : 

  • Des poussières, des particules de fibre de verre, les particules fines en provenance de l’extérieur et qui pénètrent dans les locaux et se confinent,

  • Des vapeurs et COV, produits par les imprimantes, photocopieurs, ordinateurs ainsi que les composés organiques volatils produits par des moquettes, tapis et les revêtements muraux et de sol, le mobilier,

  • Des COV dégagés par les produits d’entretien, de désinfection, des colles, des peintures ainsi que des solvants,

  • Des organismes en suspension dans l’air comme des acariens qui proviennent des coussins, tissus, fauteuils,

  • Des champignons, des moisissures et de bactéries, tous contaminants microbiens générés par de l’eau stagnante dans des bacs, des réservoirs de récupération de condensats,

  • Des gaz comme l’ozone, très fréquent car produit par des photocopieuses et des moteurs électriques,

  • Des gaz et des odeurs comme la fumée de tabac, les parfums, les odeurs corporelles et de nourriture…

Les conséquences d'une mauvaise qualité de l'air intérieur

En respirant une mauvaise qualité de l’air, des symptômes peuvent apparaître comme des maux de tête, de la fatigue, une congestion des sinus, une toux et des éternuements. La pollution intérieure peut aussi être responsable de problèmes aux yeux (irritations), d’une sécheresse de la peau, d'étourdissements et de nausées.

Tous ces symptômes vont entraîner une hausse de l’absentéisme en entreprise, une baisse des fonctions cognitives (concentration, compréhension, collaboration), et compromettre le retour au bureau des collaborateurs.

Enfin, si l’air n’est pas largement renouvelé en continu, été comme hiver, les risques de transmissions croisées, entre les personnes porteuses de virus ou de bactéries et leurs collègues, sont élevés.

La Qualité de Vie au Travail ou QVT est un engagement important des entreprises et des partenaires sociaux. Elle permet d’associer le souci des conditions de travail pour les collaborateurs ainsi que les performances. Elle facilite le retour au bureau et la réduction de l’absentéisme.

Les problèmes de santé liés à la qualité de l'air et les solutions appropriées

Lorsque les occupants ressentent des effets indésirables sur leur santé, directement liés au temps passé dans les bureaux de l'entreprise, il s'agit du syndrome du "sick-building" ou bien SBS ou syndrome du bâtiment malsain (Source : Cairn Info). Dans les cas les plus graves, la réaction à certaines substances chimiques peut rappeler le syndrome d’hypersensibilité chimique multiple ou MCS pour Multi-Chemical Sensitivity.

Les purificateurs d’air ont la propriété de purifier l’atmosphère et renouveler l’air en le filtrant pour le nettoyer des particules fines et composés organiques volatils.

AIR ET SANTÉ propose une gamme de purificateurs d’air à filtration mécanique et de qualité médicale. Equipés de filtres HEPA 13 ou HEPA 14, de filtres à charbon actifs et pilotés par leurs détecteurs de qualité d’air, ils nettoient l'air de l’ensemble des polluants biologiques et chimiques. Ils offrent aussi des options d'élimination des polluants grâce aux ioniseur et à la photocatalyse.

Ces appareils s’adaptent à chaque exigences des utilisateurs, en passant par le petit bureau de 10 m², à la salle de réunion de 120 m² et jusqu’au restaurant d’entreprise de plus de 500 m².

Le purificateur d'air prouve son efficacité dans les: