Purificateurs d’air : prescrire ou proscrire ?

Des voix s’expriment pour évoquer l’inefficacité potentielle de purificateurs d’air. Et quelque fois même l’éventualité de risques liés à leur utilisation.

Elles font référence à l’avis de l’ANSES* publié en septembre 2017 relatif à « l’identification et l’analyse des différentes techniques d’épuration d’air intérieur émergentes ».

Dans ce rapport ne sont recensées et analysées que des solutions « émergentes ». Celles qui reposent sur la technique de filtration, dites mécaniques, ne sont pas couvertes !

Nous constatons fréquemment un amalgame dans les commentaires et restitutions synthétiques de cette étude, elle tendent à proscrire toute les méthode de purification « assistée ». 

De quoi parle-t-on ?

Les solutions qui sont décrites dans ce rapport vont de l’usage d’aérosols (sprays assainissant) aux appareils de purification plus ou moins sophistiqués. Parmi ces derniers, il existe en effet plusieurs techniques qui ne sont pas recommandées par l’ANSES.

Si l’efficacité des dispositifs de filtration équipés de filtres HEPA pour les allergiques et asthmatiques n’est pas remise en cause, l’étude s’interroge en revanche sur les dispositifs alternatifs comme l’ozonation, la photocatalyse et l’ionisation.

Il nous paraît donc important de rappeler que chez AIR ET SANTE nous promouvons la filtration mécanique présente sur tous nos appareils. Elle est utilisée en hôpitaux, et les dispositifs complémentaires comme l’ionisation ou la photocatalyse souhaités par de nombreux clients sont à déclenchement manuel.

De plus, tous nos purificateurs font l’objet de tests conduits par des laboratoires de microbiologie pour s’assurer de leur innocuité.

L’ANSES dans ses recommandations préconise une prévention par l’aération et la ventilation dès que possible ce que vous trouverez aussi sur notre site à la page : https://www.air-et-sante.fr/conseil-purificateur-d-air/comment-assainir-une-maison/